Quelle bête idée j'ai eu là,
De vouloir faire tout un article comme ça.
Mais maintenant que c'est dit,
A moi même j'obéis.
Oui je sais, c'est moyen,
Mais c'est pas comme si j'en faisais tous les matins.
Alors je fais comme je peux,
Et c'est vrai que ça ne donne pas tout à fait ce que je veux.
Mais ne nous arrêtons pas à ça,
Et revenons à nos tracas !
Enfin, je dis tracas parce qu'il le faut,
Sinon, j'aurais plutôt dit, allons-y allonzo !
Je vous annonce officiellement,
Que j'ai trouvé le haut manquant.
Et que pour le bal non masqué,
Seul les chaussures sont à trouvées.
Ça fais trois fois,
Trois fois que je recommence ces vers-ci.
Et que je ne trouve pas.
Rien ne me vient à l'esprit,
Pour continuer cette chose.
J'ai beau faire des pauses,
C'est pas comme ça qu'il va avancer,
Cet article qui va me screugneugneuter.
Oui, on fait vraiment comme on peut,
Je vais pas non plus m'arracher les cheveux !
C'est pas ma faute si mon vocabulaire,
Ne vaut pas celui de Voltaire.
Ah oui, moi j'ai de la culture,
Mais vous savez ce qu'on en dit, chal !
Que c'est comme la confiture.
Et moi, je peux vous dire, je l'étale...
Ça y est, c'est le vide complet,
Pas moyen de trouver un couplet,
C'est comme une page vide,
Sauf qu'elle ne l'est qu'à moitié,
Mais comme on dit vers plein, je te vide,
Vers vide, ... Vers vide. C'est bien résumé.
Pour information,
Les "fautes d'orthographes" sont voulues,
Ce n'est pas de l'inattention,
C'est de la volonté absolue !
Je sais, je sais, plus j'écris,
Moins les rimes sont jolies,
Et plus j'emploie des mots,
Qui à mon sens n'ont rien à faire dans le lot.
Comme le mot lot, en fait.
Puisqu'en ce vendredi soir de fête,
J'aurais plutôt choisis le mot tas,
Qui résumait mieux mon état.
Je suis en effet un peu fatiguée,
Par ces interminables journées,
D'études, et d'oral,
Qui ne me font que du mal.
Même si il est vrai que cet après-midi,
On a plutôt aimé la vie.
Avec une petite promenade entre nous,
Rien de plus, c'est tout.
Enfin, je dois vous dire,
Que j'ai envie de rire.
Non c'est pas vrai,
Je trouvais juste rien qui rimais.
Et puis c'est une manière d'allongé,
Cet article à étoffer.
Mais je ne saurais rien en faire,
J'ai pas les idées de Molière.
Oui, il faut changer un peu,
Chacun son tour, ça en fait déjà deux.
Me reste les autres au cas où,
J'aurais une panne, un trou.
Je vais me chercher à boire,
Non, je ne vous dis pas au revoir.
Je ne suis pas partie, je reviens,
N'espérez pas si vite, petits sagouins.
Aujourd'hui, dans un épisode de Martine,
Elle est venue à la répétition,
Apporter, vêtue en bleu marine,
Les costumes pour les finitions.
Ils sont à tomber par terre,
Timon en particulier, gère la fougère.
Les nôtres sont un peu spéciaux,
Mais finiront par être très beaux.
J'ai hâte d'y être et en même temps,
Espère que tout sera prêt.
J'espère surtout pour l'orchestre et les chants,
Niveau théâtre et costume, on y est.
Vous savez, je crois que je vais m'arrêter.
Il est pas très long,
Mais inutile de vouloir faire Beaumarchais,
J'ai déjà fais nez long.(1)
C'est donc tout pour aujourd'hui,
Je vous dis à samedi
Pour ceux que je vois ce jour là,
Et à la prochaine fois,
A ceux qui ne me verront,
Que lorsque les pigeons voleront !
D'accord, les pigeons volent,
Mais c'est pas ma faute à moi,
Si on me dit pas des trucs comme ça,
Dans mon école.
Ça devient vraiment nul,
Alors je vais vous laisser,
Et m'en aller,
Pour faire des bulles.
Qu'est ce que je viens de dire !
C'est nul à mourir,
Je vais vraiment vous laisser,
Pour que vous puissiez respirer.
Juste une dernière chose à ajouter,
Une dernière rime que j'ai oubliée :
Chamadaire, ça gère la fougère.
De vouloir faire tout un article comme ça.
Mais maintenant que c'est dit,
A moi même j'obéis.
Oui je sais, c'est moyen,
Mais c'est pas comme si j'en faisais tous les matins.
Alors je fais comme je peux,
Et c'est vrai que ça ne donne pas tout à fait ce que je veux.
Mais ne nous arrêtons pas à ça,
Et revenons à nos tracas !
Enfin, je dis tracas parce qu'il le faut,
Sinon, j'aurais plutôt dit, allons-y allonzo !
Je vous annonce officiellement,
Que j'ai trouvé le haut manquant.
Et que pour le bal non masqué,
Seul les chaussures sont à trouvées.
Ça fais trois fois,
Trois fois que je recommence ces vers-ci.
Et que je ne trouve pas.
Rien ne me vient à l'esprit,
Pour continuer cette chose.
J'ai beau faire des pauses,
C'est pas comme ça qu'il va avancer,
Cet article qui va me screugneugneuter.
Oui, on fait vraiment comme on peut,
Je vais pas non plus m'arracher les cheveux !
C'est pas ma faute si mon vocabulaire,
Ne vaut pas celui de Voltaire.
Ah oui, moi j'ai de la culture,
Mais vous savez ce qu'on en dit, chal !
Que c'est comme la confiture.
Et moi, je peux vous dire, je l'étale...
Ça y est, c'est le vide complet,
Pas moyen de trouver un couplet,
C'est comme une page vide,
Sauf qu'elle ne l'est qu'à moitié,
Mais comme on dit vers plein, je te vide,
Vers vide, ... Vers vide. C'est bien résumé.
Pour information,
Les "fautes d'orthographes" sont voulues,
Ce n'est pas de l'inattention,
C'est de la volonté absolue !
Je sais, je sais, plus j'écris,
Moins les rimes sont jolies,
Et plus j'emploie des mots,
Qui à mon sens n'ont rien à faire dans le lot.
Comme le mot lot, en fait.
Puisqu'en ce vendredi soir de fête,
J'aurais plutôt choisis le mot tas,
Qui résumait mieux mon état.
Je suis en effet un peu fatiguée,
Par ces interminables journées,
D'études, et d'oral,
Qui ne me font que du mal.
Même si il est vrai que cet après-midi,
On a plutôt aimé la vie.
Avec une petite promenade entre nous,
Rien de plus, c'est tout.
Enfin, je dois vous dire,
Que j'ai envie de rire.
Non c'est pas vrai,
Je trouvais juste rien qui rimais.
Et puis c'est une manière d'allongé,
Cet article à étoffer.
Mais je ne saurais rien en faire,
J'ai pas les idées de Molière.
Oui, il faut changer un peu,
Chacun son tour, ça en fait déjà deux.
Me reste les autres au cas où,
J'aurais une panne, un trou.
Je vais me chercher à boire,
Non, je ne vous dis pas au revoir.
Je ne suis pas partie, je reviens,
N'espérez pas si vite, petits sagouins.
Aujourd'hui, dans un épisode de Martine,
Elle est venue à la répétition,
Apporter, vêtue en bleu marine,
Les costumes pour les finitions.
Ils sont à tomber par terre,
Timon en particulier, gère la fougère.
Les nôtres sont un peu spéciaux,
Mais finiront par être très beaux.
J'ai hâte d'y être et en même temps,
Espère que tout sera prêt.
J'espère surtout pour l'orchestre et les chants,
Niveau théâtre et costume, on y est.
Vous savez, je crois que je vais m'arrêter.
Il est pas très long,
Mais inutile de vouloir faire Beaumarchais,
J'ai déjà fais nez long.(1)
C'est donc tout pour aujourd'hui,
Je vous dis à samedi
Pour ceux que je vois ce jour là,
Et à la prochaine fois,
A ceux qui ne me verront,
Que lorsque les pigeons voleront !
D'accord, les pigeons volent,
Mais c'est pas ma faute à moi,
Si on me dit pas des trucs comme ça,
Dans mon école.
Ça devient vraiment nul,
Alors je vais vous laisser,
Et m'en aller,
Pour faire des bulles.
Qu'est ce que je viens de dire !
C'est nul à mourir,
Je vais vraiment vous laisser,
Pour que vous puissiez respirer.
Juste une dernière chose à ajouter,
Une dernière rime que j'ai oubliée :
Chamadaire, ça gère la fougère.
(1) Fais nez long = Fénélon :
Ecrivain français du XVII siècle.
Ecrivain français du XVII siècle.
1 commentaire:
Bonjoiiir [(c) Tassou] à tous et à toute ^^ Je voulais simplement dire ceci :
Toute ressemblance à autrui ou à un quelconque événement, ou toute allusion à une ou des personnes ou à un quelconque fait : serait affreusement fortuit, bien entendu :P
Bisous :p
Nathou le ch******** \o\ \o/ /o/
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